Voyage en Égypte: Comment éviter arnaques et petits désagréments

13–19 minutes

Guide complet pour éviter arnaques et désagréments lors de vos vacances en Egypte (mise à jour 2025)

L’Égypte est une destination magique, entre pyramides, temples millénaires et mer Rouge. Mais comme dans tout pays touristique, les arnaques en Égypte sont courantes.

Si l’Egypte est sure pour les touristes, Vous n’êtes pas à l’abri de quelques petits désagréments. Il n’est pas rare de se faire aborder par des vendeurs ambulants, des guides improvisés ou des chauffeurs de taxi qui proposent leurs services ou leurs produits à des prix clairement gonflés. Cela peut vite devenir horripilant!

Découvrez nos conseils pratiques pour les anticiper et profiter sereinement de votre voyage en Égypte.

  1. Comprendre le contexte local
  2. Les arnaques les plus fréquentes en Égypte et comment les gérer.
    1. Dans les transports : se déplacer en toute sécurité sans se faire arnaquer
      1. En taxi
      2. Les faux taxis
      3. Les arnaques Uber, Careem, Indrive
    2. Arnaques à la monnaie égyptienne
      1. Arnaque : Pièces de 1 LE ressemblant à 1€
      2. Le billet qui change de valeur
    3. Acheter et négocier sans se faire avoir
      1. Les souks et les achats de souvenirs
      2. Achats du quotidien : eau, snacks,…
    4. Le bakchich (pourboires) en Égypte : art du pourboire et pièges à éviter
    5. Pseudo agences et pseudo professionnels du tourisme
    6. Dans les cafés et les restaurants
    7. Les arnaques amoureuses en Egypte
  3. Autres petits désagréments et comment réagir
  4. Que faire si vous êtes victime d’une arnaque ?
  5. Conclusion : Un voyage inoubliable malgré tout !

L’Égypte est un pays où la négociation fait partie intégrante des échanges commerciaux. Cette pratique culturelle, bien que déroutante pour certains visiteurs, s’inscrit dans une tradition ancestrale.

Dans le contexte économique actuel (avec une inflation atteignant 33% en 2024 selon la Banque Centrale d’Égypte et la dévaluation de la Livre Egyptienne), ces interactions prennent une importance particulière pour de nombreux Égyptiens.

Ces personnes sont généralement motivées par le besoin de gagner leur vie dans un contexte économique difficile et elles ne sont pas toutes malhonnêtes.

Mais il faut aussi être conscient que certaines d’entre elles peuvent profiter de la naïveté ou de l’ignorance des touristes pour les tromper, leur soutirer de l’argent ou leur vendre des services ou articles de mauvaise qualité.

Voici les pièges à touristes les plus répandus.

Les compteurs, quand il y en a et ce n’est pas fréquent, ne fonctionnent pas.

Convenez toujours du prix de la course avant de monter. Si vous désirez avoir une idée de prix, vous pouvez soit demander à la réception de l’hôtel (parfois, ils disposent de listes indicatives), soit consulter le prix de la course sur l’une des application VTC (type Uber, Careem ou Indrive). Notez toutefois que les prix pratiqués sur ces applications sont ridiculement bas et que les chauffeurs privés Uber ne paient ni assurances, ni taxes, ni licence).

Eloignez-vous des hôtels et lieux touristiques pour héler un taxi (quelques dizaines de mètres peuvent suffire). Leurs prix ont tendance à gonfler à proximité de ces lieux.

Convenez du prix en Livres égyptiennes et non en € (ou autre devise étrangère) même si le chauffeur insiste. Le tarif en € sera toujours gonflé et défavorable.

prendre un taxi pour se déplacer en Egypte
Taxi au Caire

Si le prix ne vous convient pas, refusez poliment. Un autre chauffeur ne tardera pas à se présenter.

Prévoyez de la monnaie ! certains prétendront ne pas pouvoir faire l’appoint. Vous pourrez également ajouter un pourboire si vous êtes content du service.

Dans ce cas, n’hésitez pas prendre le numéro de téléphone du chauffeur et à le contacter directement pour de nouvelles courses.

Dans les villes touristiques comme Louxor ou Assouan, de nombreux véhicules privés se font passer pour des taxis. Ces conducteurs abordent les visiteurs près des sites archéologiques ou s’arrêtent spontanément dans la rue pour proposer leurs services.

Comment les différencier ?

Un taxi officiel

  • Couleurs réglementaires : chaque ville impose une livrée spécifique (bleu et blanc à Louxor, noir et blanc au Caire, etc.)
  • Identification claire : numéro de licence visible et plaque d’immatriculation rouge/orange contre une plaque bleue pour les véhicules privés non autorisés à pratiquer le transport rémunéré de personnes.
immatriculation voiture privée en Egypte
immatriculation voiture privée en Egypte
prendre le taxi en Egypte
Taxi officiel à Louxor

Outre la question du prix, se posent les questions de sécurité (vous ne savez pas avec qui vous montez, ni si la voiture est en état) et d’assurance.

Ces applications sont présentes et couvrent le territoire égyptien avec plus ou moins d’efficacité. Elles apparaissent intéressantes par leur facilité d’utilisation et leur côté économique.

Une nouvelle forme d’arnaque se développe à tout allure qu’elle que soit la plateforme : il est devenu habituel que les chauffeurs, à leur arrivée, demandent à annuler la course pour passer au paiement en espèce. Avec un prix gonflé. Ou qu’ils demandent en fin de course, un pourboire conséquent. Certains témoignages font état de comportements menaçants et intimidants.

Je continue à déconseiller leur usage notamment pour des raisons de sécurité particulièrement pour les femmes voyageant seules. Deux femmes égyptiennes ont été agressés l’année dernière. Consultez notre article sur les déplacements en Egypte :

Guide pratique et comparatifs des moyens de transport en Egypte (mise à jour 2025)

Des arnaques qui reposent sur la méconnaissance ou l’inattention du voyageur.

Nombreux sont les voyageurs qui, par habitude, glissent des pièces en euros dans les mains des Égyptiens pour marquer leur satisfaction. Pourtant, ces pièces s’avèrent inutiles aux receveurs : les banques locales refusent systématiquement les pièces étrangères, n’acceptant que les billets. D’où cette scène récurrente où l’on vous tend des pièces euros, non par mendicité, mais dans l’espoir d’un échange contre des billets ou de la monnaie locale.

Le piège :
Certains y voient l’opportunité d’une arnaque. La pièce de 1 livre égyptienne, frappée du masque doré de Toutânkhamon, pourrait presque passer pour une pièce de 1 euro aux yeux non avertis. Sa valeur pourtant ne dépasse pas 0,05 euro. Habilement glissée parmi d’autres pièces lors d’un échange, elle permet d’escroquer le touriste de 95% de la valeur attendue.

arnaque à la livre égyptienne : voyage en Egypte
La Livre égyptienne

Lors des échanges :

  • Examiner chaque pièce avant acceptation
  • Eviter les transactions précipitées.

Cette arnaque repose sur la méconnaissance des voyageurs et la similitude visuelle des pièces. En appliquant ces précautions simples, vous éviterez toute mauvaise surprise tout en permettant aux locaux de bénéficier réellement de votre générosité.

Lors du paiement d’un service ou d’un achat, une arnaque classique consiste pour le prestataire ou le vendeur à prétendre avoir reçu un billet de moindre valeur.

Le scénario type : vous remettez un billet de 200 LE, mais le vendeur affirme n’en avoir reçu que 20. Profitant de votre méconnaissance des billets locaux ou de la fatigue en fin de journée, il compte sur votre confusion pour dissimuler la substitution.

Pour prévenir cette escroquerie :

  • Annoncez clairement et distinctement la valeur du billet remis (« Je vous donne 200 livres »)
  • Vérifiez discrètement votre billet avant de le tendre (chiffres inscrits en lettres latines sur l’une des faces, en arabe sur l’autre).

Cette pratique, bien que moins fréquente qu’auparavant, persiste notamment autour des sites touristiques majeurs.

Marchander fait partie intégrante de la culture égyptienne, surtout dans les souks et les boutiques touristiques. Que vous achetiez des souvenirs, des bouteilles d’eau ou des produits du quotidien, il est important de connaître les bonnes pratiques pour ne pas se faire surprendre par les prix gonflés ou les arnaques courantes.

Dans les souks touristiques, Au Caire, Hurghada ou Louxor, les prix annoncés sont souvent particulièrement indécents. Il ne s’agit pas toujours de malhonnêteté, mais d’une tradition marchande où la négociation fait partie intégrante de l’échange.

Souk Khan el Khalili – le Caire

Comment aborder les transactions :

  • Évitez d’être accompagné d’un guide ou d’un ami égyptien : leur présence peut faire grimper les prix de 20 à 40% pour couvrir leur commission.
  • Faites le tour de plusieurs boutiques pour établir une fourchette de prix réaliste avant de négocier.
  • Ne manifestez pas trop vite votre intérêt pour un objet : restez détaché en début d’échange.
  • Le premier prix est rarement le bon : considérez-le comme une invitation à discuter plutôt qu’un tarif fixe. Une division par trois constitue généralement un point de départ réaliste.
  • Les tactiques émotionnelles (« Pour toi, prix spécial ami ! », la discussion autour d’un thé, les compliments dithyrambiques,…), masquent souvent des marges importantes. Un vendeur vraiment intéressé par une vente équitable affichera des prix clairs sans recourir à ces artifices.
  • Armez-vous de patience, négocier peut prendre un certain temps.
  • Quand le vendeur demande votre « dernier prix » : annoncez fermement la somme maximale que vous aviez en tête dès le départ.
  • Si l’accord semble impossible : feignez de partir. Dans 9 cas sur 10, on vous rappellera pour accepter votre offre.

À retenir :
La négociation idéale s’achève lorsque les deux parties quittent le comptoir satisfaites – vous avec un objet qui en vaut le prix, le commerçant avec une marge juste. Cette danse verbale, menée avec courtoisie et fermeté, reste l’un des rituels les plus authentiques du commerce égyptien.

Certaines boutiques (souvent à l’écart des circuits très fréquentés) prennent le contrepied et pratiquent une tarification transparente – reconnaissables à leurs étiquettes lisibles et à l’absence de sollicitations insistantes ! Toutefois, cela ne signifie pas toujours que leurs marges ne soient pas gonflées.

Attention particulière aux abords des sites touristiques et dans les souks: Si on vous offre un cadeau « car vous êtes gentils » (petit scarabée, croix ankh, petite statuette,…), ne la prenez pas, quitte à ce que ça tombe par terre. Parce que le vendeur ne le reprendra pas et vous annoncera le prix fort.

Si vous désirez réaliser de petits achats, comme des boissons, des snacks,… Voici quelques conseils utiles pour éviter d’acheter une petite bouteille d’eau, le prix d’un carton de 12 grandes:

  • Evitez les boutiques dans et autour des sites touristiques.
  • Evitez les boutiques dans et à proximité des bateaux, resorts et des hôtels.
  • Privilégiez les petites superettes locales éloignées des axes touristiques (certaines possèdent même des caisses électroniques) ou les supermarchés (Kheir Zaman, Raya, Kazyon,…) aux prix fixes.
  • Payez en livres égyptiennes.

Voici une liste indicative des prix hors sites touristiques (2025):

  • petite bouteille d’eau : 4 ou 5 Le
  • grande bouteille d’eau : +/- 10 Le
  • cannette / soda : entre 10 et 15 Le selon la marque
  • petite brique de jus de fruits : entre 10 et 15 Le selon la marque
  • chocolats : autour de 15 Le la barre ou la barre chocolatée
  • paquet de chips : entre 5 Le pour les plus petits paquets jusque 20 Le pour les plus grands.

Dans les ruelles ombragées des souks comme sur les sites archéologiques millénaires, une règle immuable régit les interactions touristiques : aucun service ne se donne, tout se négocie. Le bakchich (pourboire), tradition ancestrale de gratitude, s’est mué en secteur économique à part entière où savoir distinguer le service méritant de l’arnaque organisée devient un art de voyageur.

Ne donnez pas d’argent à tort et à travers à tous ceux qui vous le demandent. Cela risquerait de vous coûter très cher, mais également de nuire à la vocation première du “bakchich” (le pourboire) : une juste rétribution en échange d’un service (sollicité) rendu (serveur attentionné, personnel d’entretien, porteur de bagages,…)

Quelques exemples fréquents :

  • Quand un « gardien » de tombe ou responsable de site insiste pour vous montrer et vous accompagner à tel ou tel lieu, s’improvise guide, essayez de vous en débarrasser au plus vite. S’il vous arrive la même chose et qu’il ne bouge pas, partez du lieu et revenez plus tard sans lui.
  • Les mêmes gardiens insisteront sans doute pour s’improviser photographe ou vous ouvrir un endroit soi-disant fermé
  • Le porteur de bagages à l’aéroport qui vous arrache presque vos valises de mains pour d’autorité les poser sur un trolley.
  • Les locaux qui vous proposeront de poser avec eux ou un animal avant de vous demander un pourboire.

N’écoutez pas les histoires larmoyantes destinées à vous attendrir : « ma mère est à l’hôpital », « j’ai 5 filles aux études ! », …

Tout l’art est de savoir ignorer ces sollicitations et propositions et de savoir dire non.

Pour en savoir plus sur la gestion des pourboires lors de votre voyage en Egypte, les montants conseillés, consultez notre article :

Que donner comme pourboire, à qui et comment lors de votre voyage : guide pratique 2025

Méfiez vous des particuliers qui vous vendent des services touristiques.

Ils pullulent sur les réseaux sociaux : fausses agences, chauffeurs non licenciés, particuliers,… proposant leurs services à des tarifs attractifs (ne payant ni taxes, ni licences, ni assurances).

Se drapant parfois dans le statut rassurant (pour le touriste) d’expatrié francophone, ils profitent de la méconnaissance du voyageur quant au système égyptien pour vendre leurs services sans titre, ni droit avec les risques que cela comporte.

Souvent gérées par des expatriés francophones, très actives sur les réseaux, elles offrent de prime abord l’aspect de la sécurité pour le voyageur (page Facebook, Instagram, site internet, contact francophone). Et pourtant, il y a de fortes chances qu’il s’agisse là d’une agence non déclarée et donc illégale. Ces agences sont surreprésentées sur la Mer Rouge et dans une moindre mesure à Louxor.

Parfois, il s’agit de simples particuliers, égyptiens ayant un lien plus ou moins direct avec le tourisme (taxis, chauffeurs non licenciés, propriétaires de Airbnb, …) qui proposent leur services en dehors de tout cadre.

  • Leur gérant travaille sans licence : risque de voir l’activité cesser sans préavis en cas d’intervention des autorités;
  • Aucun continuité de service en cas d’indisponibilité même involontaire (maladie, accident,…) du responsable qui souvent travaille seul;
  • Acomptes éventuels versés sur un compte particulier ou via de modes de transfert peu sûrs ( Western Union par exemple) perdus en cas de problème, de cessation d’activité;
  • Aucune assurance en cas de problème;
  • Aucune entité légale sur laquelle vous retourner (les seules données officielles fournies sont généralement un numéro WhatsApp ou une adresse e-mail !).

Privilégiez toujours les acteurs reconnus et officiels .

Un professionnel du tourisme/ Une agence de voyage officielle locale:

  • possède une licence émise par le ministère du tourisme (qu’elle/il doit pouvoir vous présenter à la demande;
  • vous fournit des devis professionnels et détaillés (pas une estimation globale via WhatsApp)
  • possède des bureaux physiques;
  • rémunère des employés assurant la continuité du service;
  • paye taxes, licences et assurances
  • son activité est contrôlée par les autorités.

Certains cafés et restaurants présentent une double tarification:

  • carte pour les touristes (généralement majorée)
  • carte pour les locaux

A la lecture de la carte, vérifiez si les prix comprennent taxes (14%) et service (12%).

Veillez à vérifier votre addition, en redemandant avec la carte si besoin, certains serveurs peuvent se montrer créatifs avec les chiffres !

Véritable fléau, business organisé, qui vise les femmes voyageant seules.

Dans des pays touristiques comme l’Égypte ou le Sénégal, certains hommes (guides, chauffeurs, serveurs…) profitent de la vulnérabilité des voyageuses. En quelques jours, ils séduisent des femmes de tout âge, leur promettant un grand amour, avant de les exploiter financièrement.

Certains escrocs en ont fait un business à plein temps, entretenant plusieurs relations simultanément.

Ces escroqueries, souvent méconnues, laissent des séquelles émotionnelles et économiques durables.

Ces histoires, parfois tragiques, rappellent l’importance de la prudence pour les femmes voyageant seules.

J’ai, donc, décidé de consacrer un article entier à la question.

Méthodes des arnaqueurs, impacts psychologiques, émotionnels et financiers, conseils, informations pratiques, …

L’Egypte possède mauvaise réputation à cet égard. Nombre touristes se plaignent, à juste titre, de ne pouvoir faire un pas à l’extérieur sans être sollicités de toute part :

  • Taxis,
  • caléchiers,
  • propriétaires de bateaux,
  • vendeurs à la sauvette de babioles et souvenirs,

La liste est longue.

Si on vous accoste, et que vous n’êtes pas intéressé, dîtes non avec fermeté ou ignorez tout simplement. Cela suffit généralement.

Si cela ne suffit pas, haussez un peu la voix et passez votre chemin. Il y aura toujours quelqu’un pour remettre l’importun à sa place.

Vous pouvez également suivre l’exemple, plutôt drôle, de ce touriste à Louxor : il portait un T-shirt sur lequel est écrit en arabe :

  • je ne veux pas de calèche
  • je ne veux pas de felouque
  • je ne veux pas de taxi !
l'initiative plutôt drôle d'un touriste pour faire face aux sollicitations lors de son voyage en Egypte

La situation, même si elle n’est pas parfaite s’améliore doucement grâce à une police plus présente et plus attentive à la question du harcèlement des touristes.

Donner aux plus pauvres est un geste coutumier des égyptiens.

Toutefois, il faut savoir que, comme par ailleurs dans le monde, une partie de cette mendicité est « organisée » et constitue une économie très florissante utilisant, notamment, les enfants. Evitons de favoriser l’exploitation des enfants en encourageant ce type de pratiques.

Si vous désirez faire un bon geste, tournez vous plutôt vers les personnes qui, dans la rue, se fatiguent à essayer de vendre un petit quelque chose (des mouchoirs, des masques, des bics, …) plutôt que vers les mains qui se tendent dès qu’elles aperçoivent un visage étranger, le tout accompagné d’un insistant « Hello, bakchich ! « .

Pour faire face à ces situations :

  • « La » : non
  • « Khallas » ou « kifayya » : assez !
  • « Sibni » : laisse-moi
  • « Mich awiz » : je ne veux pas (M)
  • « Mich awza » : je ne veux pas (F)
  • « Haram aleik » : le péché sur toi (litt.) (se dit lorsque l’autre fait qqch d’inconvenant, n’est pas honnête)
  • « Aèb » : immoral (litt.) : exclamation lorsque votre locuteur dit quelque chose d’inconvenant du point de vue de la morale. Un « aèb » sonore est un mot fort qui attirera de suite l’attention des personnes présentes.
  • « mich maksouf ? » (M) ou « mich maksoufa ? » (F): Tu n’as pas honte ?

Voyage solo en Egypte au féminin : conseils pratiques

  • Référez en à votre représentant d’agence ou votre guide, il vous aidera à aplanir les difficultés.
  • Appelez la police touristique (126) en cas de litige grave.

Avec ces conseils anti-arnaques, votre séjour en Égypte se passera sans encombre. La majorité des Égyptiens sont accueillants, et les sites valent vraiment le détour ! Préparez bien votre voyage et profitez de ce pays extraordinaire.

Vous avez vécu d’autres situations d’arnaques que vous avez su éviter, ou que vous avez malheureusement subies ? N’hésitez pas à partager votre expérience dans les commentaires afin d’aider la communauté Destination Egypte à ne pas tomber dans les pièges. Merci !

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